[RP] Officine des courriers aux membres du Gouvernement

CABINET DU RÉGENT DU ROYAUME DE FRANCE ET DE NAVARRE


A Monsieur Louis-Oscar de la Tour du Pin
Gouverneur du Berry

Monsieur le Gouverneur du Berry,
Cher Louis-Oscar,


Son Altesse Sérénissime souhaite vous recevoir en audience privée au Palais Jacques Cœur :

- le Samedi 31 mars 1658 à 09H00

Cette missive fera office de laisser-passer.

Recevez, Monsieur le Gouverneur, Cher Louis-Oscar, mes respectueuses salutations.





Fait à Bourges, le 25 Mars de l'An de Grâce 1658
Pour son Altesse Sérénissime Philippe de Chesnay-Taillandier - Régent du Royaume de France et de Navarre

CABINET DU RÉGENT DU ROYAUME DE FRANCE ET DE NAVARRE


A Monsieur Louis-Oscar de la Tour du Pin
Gouverneur du Berry

Monsieur le Gouverneur du Berry,
Cher Louis-Oscar,


J'accuse bonne réception de votre rapport en date du 29 avril 1658 et vous en remercie. Comme toujours, votre travail est soigneux et précis.
J'ai néanmoins quelques interrogations dont j'aimerais pouvoir parler avec vous. Aussi, je me propose de venir à votre rencontre au sein de votre bureau.
Est-ce que Mercredi 2 mai 1658 à 14H00 vous conviendrait ? Merci de me le faire savoir ou de me proposer une date vous convenant mieux.

D'ici le moment de vous revoir, recevez, Monsieur le Gouverneur, Cher Louis-Oscar, mes respectueuses salutations.





Fait à Bourges, le 01 Mai de l'An de Grâce 1658
Pour son Altesse Sérénissime Philippe de Chesnay-Taillandier - Régent du Royaume de France et de Navarre

CABINET DU RÉGENT DU ROYAUME DE FRANCE ET DE NAVARRE


A Monsieur Louis-Oscar de la Tour du Pin
Gouverneur du Berry

Monsieur le Gouverneur du Berry,
Cher Louis-Oscar,


J'accuse bonne réception de votre courrier portant sur les rentes du Gouvernement Berrichon en date du 8 mai courant et vous en remercie.

Il n'est pas normal que le Bourgmestre de Sancerre ne perçoive pas sa rente hebdomadaire au même titre que le Bourgmestre de Bourges. Aussi, je vous remercie de vous rapprocher au plus vite de Mademoiselle Beauclair, votre Intendante aux finances, afin que celle-ci corrige cet oubli qui semble dater de ce que je viens de lire. Soit il est possible d'inclure 2 rentes hebdomadaires de Bourgmestre, soit si cela n'est pas faisable, il faut étudier si depuis la caisse de l'Intendante aux Finances il est possible de dégager la somme due chaque semaine sur un compte ou sur un autre, justificatifs à l'appui, bien entendu.

Tenez-moi informée par retour de courrier, de ce que vous aurez pu mettre en place. Nous ne pouvons pas laisser le Bourgmestre de Sancerre travailler sans que ce qui lui est dû ne lui soit versé.


D'ici le moment de vous lire, recevez, Monsieur le Gouverneur, Cher Louis-Oscar, mes respectueuses salutations.





Fait à Bourges, le 10 Mai de l'An de Grâce 1658
Pour son Altesse Sérénissime Philippe de Chesnay-Taillandier - Régent du Royaume de France et de Navarre

CABINET DU RÉGENT DU ROYAUME DE FRANCE ET DE NAVARRE


A Monsieur Louis-Oscar de la Tour du Pin
Gouverneur du Berry

Monsieur le Gouverneur du Berry,
Cher Louis-Oscar,


Soyez remercié pour votre dernier courrier.

En examinant mes dossiers du bureau de Contrôleur des Finances Royales, je m’aperçois qu'il n'y a pas moyen de pouvoir cumuler plusieurs rentes sur un même poste.
J'avoue en être étonnée puisque depuis toujours deux Bourgmestres sont nécessaires au bon fonctionnement du Gouvernement berrichon.


Nous sommes donc dans une impasse à ce niveau mais je vais voir comment contourner cela, si c'est possible. (HRP : je crains qu'on ne puisse pas faire grand chose)

Recevez, Monsieur le Gouverneur, Cher Louis-Oscar, mes respectueuses salutations.





Fait à Bourges, le 11 Mai de l'An de Grâce 1658
Pour son Altesse Sérénissime Philippe de Chesnay-Taillandier - Régent du Royaume de France et de Navarre

De Danath du Val de Bourg
Intendant de justice et de Police,
Bourgmestre  de Bourges,
Bourgmestre de sancerre.

Pour Louis-Oscar de la Tour du Pin,
Gouverneur du Berry.
Hôtel des Échevins
Bourges.

Le 21 juin, de l'an de grâce 1658

Mon Fils,

Je m'y prend un peu tard, et je ne peux que m'en excuser, mais il est important que je t'informe de ma décision, prise en tant qu'Intendant de Police et de Justice:
Mademoiselle Aurore ne fait plus partie de la Maréchaussée, et ce depuis le 17 juin, date à laquelle je l'ai révoquée.

Je te joins le courrier que je lui ai posté à son domicile, et je passerai t'expliquer tout cela de vive voix, dès que possible, d'autant que le projet dont je t'ai un peu parlé prend tournure, grâce à l'aide précieuse notre Maréchal des Logis, de nos valeureux Gardes et de notre Échevin à l'Urbanisme aussi...!

Prends soin de toi surtout,

Dan

courrier joint:

De Louise Lamotte,
Maréchal des Logis de Sancerre.


A Louis-Oscar de la Tour du Pin,
Gouverneur du Berry.

A Danath du Val de Bourg,
Intendant de la Justice et de la Police du Berry,
Bourgmestre de Sancerre et de Bourges.



Sancerre,
Le 27 Juin 1658.


Gouverneur,
Intendant du Val de Bourg,

Par la présente, je souhaiterais me porter candidate au Poste d'Intendante de la Justice et de la Police du Berry.

En effet, faisant partie de la Maréchaussée depuis plusieurs années, je me sens aujourd'hui prête à assumer cette charge.

Je reste à votre disposition pour être reçue, afin de discuter plus en détail de ma candidature. Votre jour sera le mien, je m'arrangerais pour décaler une de mes gardes, s'il le faut.

Cordialement,



Maréchal des Logis Lamotte.

De Louise Lamotte,
Maréchal des Logis de Sancerre.


A Louis-Oscar de la Tour du Pin,
Gouverneur du Berry.



Sancerre,
Le 29 Juin 1658.


Gouverneur,

Merci pour votre réponse rapide et pour l'intérêt que vous porter à ma candidature.

Je serais bien là, comme convenu par votre courrier, demain à seize heures.

Cordialement,



Maréchal des Logis Lamotte.

De Louis-Oscar de la Tour du Pin,
Domaine "Les Ails d'Angilons",
Au coeur du Berry.

Pour Messire Phillipe de Forbach,
Gouverneur du Berry,
Hôtel des Échevins à Bourges.

le 13 aout 1658

Votre Excellence ,

Je suis ravi de savoir que les quelques informations et documents laissés à votre attention vous soient utiles.
c'était un peu le but, histoire d'accorder nos violons, dans L’Intérêt du Berry et de ses habitants.

Pour ce qui est de la politique, rassurez vous, je ne suis en rien un politicien.
Et puis qu' est ce que la politique finalement..?
Des mots bien inutiles pour qualifier nos actions....?
Ou lors d'élection, l'art de mettre en avant un projet bien alléchant...?

La gestion par contre, demande du temps et c'est à force d'observations qu'on arrive à comprendre le système économique du Berry, unique en son genre,
qui mériterai d'ailleurs quelque aménagements de la part de notre Créateur, pour nous faciliter l'Ouvrage...

Enfin voilà, je ne vais pas m'étendre plus longuement sur tout ça, puisqu 'il nous faut composer avec...

J'accepte évidemment de vous épauler, pour vous faire partager mes connaissances acquises au fur et à mesure, depuis notre arrivée en ces Terres du Berry.
Peut être pourrions nous nous rencontrer, pour définir quelques détails, comme les jours / heures de présence souhaités...?
En effet, il me faut aussi m'occuper de ma famille au Domaine, trop délaissée au fil de mes mandats...

Je ne peux que vous remercier, d'ailleurs, d'avoir pris le relais, me permettant ainsi de souffler.

Dans l'attente de votre réponse,

Cordialement,

CABINET DU RÉGENT DU ROYAUME DE FRANCE ET DE NAVARRE


A Monsieur Phillipe de Forbach
Gouverneur du Berry

Monsieur le Gouverneur du Berry,


J'accuse bonne réception de votre rapport en date du 20 août 1658 et vous en remercie. Je gage que les suivants ont simplement un petit problème d'expédition et qu'ils ne tarderont pas à nous parvenir.

Nous vous serions gré par ailleurs de nous informer des suites que vous escomptez donner aux agissements de Mesdemoiselles Aurore et Angélique qui, s'ils semblent avoir cessés pour l'heure, semblent avoir coutume de se répéter sous de multiples formes à la moindre contrariété.

Dans l'attente de vos réponses, je vous prie de croire, Monsieur, en mes sincères salutations.



Fait à Bourges, le 6 septembre de l'An de Grâce 1658
Son Altesse Sérénissime Philippe de Chesnay-Taillandier - Régent du Royaume de France et de Navarre

De Louise Lamotte.

A Victoria de Chesnay-Taillandier,
Gouverneur du Berry.


Sancerre,
Le 20 Novembre 1658.

Madame,
Chère Amie,
Chère Victoria,

En premier lieu, je m’excuse de répondre en retard à votre courrier qui vient juste de me parvenir. Je sors d’une mauvaise grippe qui m’a tenu éloignée de la vie du Berry depuis plusieurs jours, voire semaines.

Je vous remercie infiniment pour votre confiance que vous me renouvelez à nouveau. Cela aurait été un immense honneur et bonheur que de travailler à vos côtés. Cependant, je me dois de décliner votre offre et d’abandonner cette tâche qui est mienne depuis des mois.

Noah, qui est à Brest depuis plusieurs jours, vient de m’écrire pour m’annoncer le décès de ma sœur et aussi que sa mère est d’une santé fragile.

Dans ces circonstances, vous comprendrez que je n’ai pas d’autre choix que de partir à Brest, le cœur empli de tristesse, pour aller le rejoindre. J’ignore combien de temps nous resterons là-bas.

J’espère que vous saurez me trouver un remplaçant digne de ce nom. Je vais mettre de l’ordre dans les affaires avant de partir.

Prenez soins de vous,

Amicalement,

CABINET DU RÉGENT DU ROYAUME DE FRANCE ET DE NAVARRE


A Madame la Duchesse Madalena de Saint Samson
Gouverneur du Berry

Madame le Gouverneur du Berry,


J'accuse bonne réception de votre rapport en date du 10 février 1659 et vous en remercie. Je vous remercie également pour avoir pris cette responsabilité supplémentaire alors que avez déjà tant fait.

Je suis la situation avec la plus grande attention, et j'espère que ces deux jeunes femmes sauront vous rendre de belle manière votre bonté alors que vous n'aviez nulle obligation de faire preuve d'autant de gentillesse à leur égard. Puisse la formation de Monsieur Le Notre que vous me citez permettre à son issue une prise de fonction qui vous déchargerait quelque peu.

Courage à vous Madame et merci encore pour tout.

Dans l'attente de vos réponses, je vous prie de croire, Madame la Duchesse, en mes sincères salutations.



Fait à Bourges, le 17 février de l'An de Grâce 1659
Son Altesse Sérénissime Philippe de Chesnay-Taillandier - Régent du Royaume de France et de Navarre