Re: [rp] 177 / 178 Chemin de Givaudins . Chez Anne .

par Adaline.Deschamps Dim 14 Mai - 19:10

Dimanche 14 mai

Une école ! Oui le Berry comptait une école et Adaline aimerait bien y aller.
Elle n'en avait encore jamais parler à Anne. Elle ne lui parlait pas beaucoup car elle ne savait pas si elle la considérait
comme sa propre fille ou juste une pièce rapportée qu'elle se sentirait obligée de garder chez elle.

Adaline aimerait bien aller à l'école pour apprendre des choses.
Son père lui avait appris à écrire son prénom et les couleurs. Mais aujourd'hui il n'est plus là.

Elle était assise sur une chaise de la table à manger à continuer de s'entrainer à écrire son prénom sur une feuille, car elle ne voulait
jamais oublier ce que son père lui a appris. Elle attendit Anne, car aujourd'hui elle avait le courage de lui en parler.

par **Anne** Jeu 18 Mai - 22:51

Anne avait très mal dormi , Elle avait eu des contractions...le petit avait un peu de retard , faut dire qu'avec les derniers evenements , cela n 'avait rien arranger.

Arriver dans la grande salle ,elle aperçu Adaline , c'est vrai qu'elles n 'avaient pas vraiment eu le temps de se parler,si mais pas de chose profonde.

Bonjour ma puce .Un sourire quand elle la vis faire .A tu manger quelque chose ?Une autre contraction qui l a fit grimacer...

par **Anne** Dim 2 Juil - 14:59

Après une longue absence et la naissance de son fils, elle revint dans sa maison.
Elle avait trouver une nourrice pour s'occuper de Tristan .
Sa longue absence lui avait fait du bien , partir loin de tout ça...
Tristan ressemblait un peu a son père.
C'est donc une arriver avec du monde qui arrivaient. Les nourrices avec les enfants.
Les deux grand savent ou trouver ou plutôt retrouver leurs chambres.Tout était rester en l 'état pour eux.Elle avait fait le nécessaire pour que tout soi au mieux pour son retour.
Qu'ils retrouvent leurs chose a eux, qu'ils ne soi pas étranger dans leurs maison , qu'ils en reprennent possession.Que cette maison revive un peu , elle aussi se devait de vivre et revivre.
Le jardin avait de belle couleur , bien entretenue .Demander aussi que soi fait la chambre du bébé avec le petit lit que son père avec eu le temps de finir.
Elle irai surement y faire un tour une fois le bébé coucher et rester sous la surveillance de sa nourrice.

Une fois cela fait , elle se retira dans son bureau , elle devait y faire encore plein de chose , elle était parti comme ça .mais le travail l'attendait .
Ni restant que peu de temps , elle sorti dans la jardin, pris place sur le banc et regarda couler la rivière...

par **Anne** Jeu 24 Aoû - 23:07

Elle était repartie un peu , le temps de vraiment se retrouver.
Les enfants étaient avec leurs nourrices.
Mais rester loin de Bourges et de son travaille , elle ne le pouvait.
Que lui restait -il a par cela...bien sur ses enfants , mais cela ne fait pas tout....
Même ses amis , elle les avait vus déjà disparaitre après l 'exode, mais là aussi chacun reprenaient une route différente.

Elle ne savait même pas si a son retour il y en aurait encore.
Mais vivre en recluse n’était pas bon non plus.
Elle devait se forcer un peu , pour rencontrer du monde....

par **Anne** Mar 20 Fév - 21:27

Elle avait alerté les autorités , un garde c 'était charger de la faire , elle ne pouvait courir dans toute les rues ou bien dans les villes avoisinante elle même.

Ne comptant pas les jours depuis sa disparition....Ne dormant presque plus...de toute elle avait perdu le sommeil...
Rien , toujours aucune nouvelle.....

La nourrice surveillait le petit...mais Anne n 'arrivait pas a s'en éloigner...Une malédiction planait au dessus d'eux...

par **Saralyne** Mar 13 Mar - 16:36

A Madame Anne de Léon
Grand Chambellan

De Son Altesse Philippe de Chesnay-Taillandier
Régent du Royaume de France et de Navarre

Madame,

Par la présente, nous vous convoquons pour un entretien au sein du Palais Jacques Coeur, en salle du Conseil d'Etat.

Le 17 mars à 10h00

Si jamais vous ne pouviez vous y présenter, nous vous serions gré de nous en avertir par retour de courrier.

Rédigé au Palais Jacques Coeur, le 4 février 1658
En nom de Son Altesse Sérénissime Philippe de Chesnay-Tallandier.

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