[RP] Camp - Passage obligatoire

Sous une pluie battante, sa capuche relevé sur sa tète il tirait sur les reines de son frisson qui avançait péniblement dans cette boue qui se collait partout.
Il était accompagné de son secrétaire et de son fils, eux aussi, chacun, sur un cheval a ses coté.
Quatre cavaliers en arme a ses couleurs les escortaient.

"Père, somme nous bientôt arrivés ?"
"Vois tu ce poste de garde mon fils, ceci marque la frontière des terres du Berry, la ou la cour du régent de France c'est installé il y'a plusieurs années afin déchapée a cette terrible peste. Nous ne somme plus très loin de Bourges"
"Monseigneur, il serait peu être plus prudent que l'on manifeste notre présence sur ses terres, soit au régent de France et au gouverneur. Nous ne savons point quel est la situation sur terres?
"Certainement Paul, Nous allons nous arrêtés à ce poste et nous annoncer, ils enverront peu être un estafette pour prévenir de notre arrivés"
"Certainement monseigneur"

l’équipée ralentie, le chemin boueux devenais plus accueillant au fur et a mesure de leur avancer.
ils s’arrêtèrent alors, devant ce poste frontière. On devinait au loin un camp de tentes et quelques maisons berrichonne à colombage.
Paul s'adressa au garde, quelque peu endormie qui se réchauffait les mains au bord d'un braseros fumant.

"Bonjour mon brave, Son Éminence le Cardinal baron de Grouville Arnoldo Delarosa, et son équipage souhaite entrée en terre berrichonne afin de pouvoir assisté à la cérémonie d'intronisation de sa majesté votre Régent en la Cathédrale de Bourges dans 3 jours.  .."

  Frère Zack


Frère Zack avait pour mission de se rendre chaque jour, jusqu'au camp installé à la frontière du Berry, par l'armée Royale.
En tant que moine médicastre, il en connaissait un rayon sur les maladies et comment les traiter, enfin pas toutes...
Apaiser des souffrances quand elle devenaient intolérables, ou remettre des os en place, ça aussi il maitrisait, sans oublier l'Art des Simples, parce que c'est un art vraiment, une Science même...!

Même si l'idée du Gouverneur était louable, et bien entendu il avait accepté sans hésiter, il s'ennuyait...
Pas de nouveaux arrivants depuis...
Bien trop longtemps...

Mais aujourd'hui, alors qu'il s’apprêtait à enfourcher son âne pour repartir, le bruit bien reconnaissable de quelques cavaliers attira son attention.
Tout un équipage en plus...!

Il n'osa pas intervenir de suite, mais s'avança jusqu'à les entendre, et les observer surtout, mais chut, il ne faisait que son travail finalement.
De loin, ils n'avaient pas l'air malades, juste un peu crottés par les intempéries...

Il s'avança alors de quelques pas et s'inclina humblement devant eux, avant de dire sur un ton des plus cordial:
Soyez les Bienvenus en ces Terres du Berry !
Comme vous l'a sans doute expliqué ce soldat, il me faut vérifier qu'aucun de vous n'est malade, avant d'aller plus loin....!

Soyez les Bienvenus en ces Terres du Berry ! Comme vous l'a sans doute expliqué ce soldat, il me faut vérifier qu'aucun de vous n'est malade, avant d'aller plus loin....! a écrit:

le petit groupe qui attendaient au poste vit arrivé un homme en robe de bure.
"Nous nous soumettons à vous, mon frère" dit le cardinal qui reconnaissais, à la vue de son habit, que le moine appartenait à l'ordre Pascalien. Un signe que Pascal n’avait pas abandonné cette province et que la religion pascalienne perdurait. Il en fut très heureux.
"Un examen de nos corps de nous fera point de mal, nous avons traversés des terres arides et froides. Nous nous somme nourris de nos provisions en nous rationnant, ne trouvant pas de nourritures assez riches pour nous rassasiées suffisamment."
"Nous avons chasser mon frère, mais les animaux y était rares. le peu qu'on en trouvais, ils étaient chétif et malingre. quelque lapereaux la peau sur les os. nous les avons relachés, nous ne voulions point risquer d'indigestion ou d'autre maux bien plus terrible"

le groupe descendit de leur montures et suivie le frère moine.

  Frère Zack

Tout en invitant, d'un geste de la main, les Nouveaux Arrivants à le suivre, Zacharie écoutait avec la plus grande attention le récit de leur périlleuse traversée...
Puis, il s’arrêta devant une des tentes dressée et dit:

Oui, les chemins de la vie sont parfois bien escarpés et semés de ronces et d'épines...
Mais vous êtes là...!
Rendons grâce à notre Bon Prophète Pascal...!

Puis il réfléchit un instant avant de proposer:
Peut être voudriez vous manger et vous réchauffer un peu...?
Il y a toujours ici, de quoi nourrir un Régiment tout entier...!
Du pain, des fromages, des noix, et du ragout même, faudra juste attiser le feu.
- Faut dire qu'avec les marchandises en abondance sur les Marchés, on était pas près de voir la Famine sévir au Berry ...! -

Je commence par examiner vos Gens d'Armes, puis ça sera à vous, Messire...?
Ou selon vos préférences, l'examen n'est pas bien long de toute façon...!
Ajouta t'il en s'adressant toujours à l'homme le plus âgé des trois, qui semblait mener le groupe.

Rendons grâce à notre Bon Prophète Pascal...! a écrit:

"Que pascal nous garde et protège nos enfants " dit le cardinal en se découvrant en abaissant sa capuche. il portait son calot rouge et sa croix pascalienne autour de son coup comme à son habitude lorsqu'il était en déplacement officiel.

Peut être voudriez vous manger et vous réchauffer un peu...? Il y a toujours ici, de quoi nourrir un Régiment tout entier...! Du pain, des fromages, des noix, et du ragout même, faudra juste attiser le feu. a écrit:

"Volontiers"
" Ho oui père, un délicieux Faisan aux figues avec une purée de pomme de terre aux olives..."
"je ne pense pas qu'il y est ce genre de plats en ce camp messeigneurs" dit le secrétaire dubitatif sur la réflexion du fils du cardinal.

Je commence par examiner vos Gens d'Armes, puis ça sera à vous, Messire...? Ou selon vos préférences, l'examen n'est pas bien long de toute façon...! a écrit:

"Faite mon fils, mes Gens d'armes sont éreintés par ce trop long voyage, ils sont grands besoin de repos. commencez par eux, nous passerons après eux, le ragoût nous suffiras"
il vit un feu ou réchauffait une marmite brûlante a même les braises. Autour, des tentes assez grande pour contenir dans chacune d'elle une dizaine de personnes, mais, visiblement, il n’y avait pas âme qui vivent ici en ces lieux. une petite garde de quelques soldats en armes vaquais a leur garde habituelle visiblement ennuyeuse à "Mourir", des caisses, ballots de grains, sac en surnombres étaient stockées de ci de la . le peu d'activités l’inquiétait quelque peu. Serait ils les seuls, d'au delà de ses frontières à venir ici ?
il s’essaya sur un banc autour du feu, bientôt imiter par son fils et son secrétaire.

"il n'y a pas foules, pourtant ce camp est équipé pour y tenir un siège pour des semaines entière."
"Il est visible que nous sommes les seul étranger à se rendre ici, ou sont passés les autre ?"
ils commencèrent à se servir un peu de ragoûts à l'aide d'une louche en bois poser non loin, et en versa son contenue dans des bols, eux aussi en bois.

"Mangeons, essayons de prendre des forces. Guillaume, écrivez une missive pour sa majesté le régent afin de lui signifier notre présence à son intronisation, quel parte dans l'heurs, il doit bien y avoir un va-y-dire dans ce camp pour la porter jusqu’à lui. Nous partirons dans deux heurs de relevé. nous irons nous loger en la cathédral de bourges. " dit le cardinal à son secrétaire.

  Frère Zack

En découvrant le calot rouge et la croix pascalienne, Zacharie resta sans voix...
Surpris et confus, il se plia littéralement en deux, le nez sur ses sandales crottées, en signe d'humilité...
Un Cardinal...?!

Hum ... heu....je...
Mille Pardons...
Votre Éminence...

Commença t'il par articuler avec difficulté...
Avant de filer, un peu honteux, s’atteler à l'examen des premiers, dans la tente prévue à cet effet...

Il inspira profondément, histoire de retrouver toutes ses facultés, et se concentrer un peu.

Un à un, les hommes en simple chemise s'assirent devant lui.
Inspection des yeux, de la gorge, de la peau, parce que ça en dit long la peau, tel un révélateur...! sisi !
Pas de ganglion à l'auscultation, pas de fièvre ni de collante sueur, ça paraissait tout bon..!
Toussez ...!
Demanda t'il ensuite, alors qu'une sorte de corne était placée dans son oreille, pour amplifier les bruits provenant des poumons.
C'est parfait...!
Vous pouvez allez manger maintenant....!
Le quatrième homme était un peu enrhumé, mais vu ce qu'ils venaient tous de traverser, ce n'était guère étonnant....
Un peu de cet onguent en friction sur le torse, en vous couchant, et des infusions de thym avec du miel suffiront...!
Dit il pour finir, en lui tendant un petit sac de lin et un petit pot remplit de cette pommade épaisse et fort odorante, où camphre, clous de girofle, et saindoux se mêlaient.

Frère Zack  jugea important cependant d'en informer le Cardinal.
Et en s'approchant du feu, il s'inclina de nouveau, à la façon des moines, tout en entendant quelques bribes de leurs propos concernant des courriers.
hum...
Si message urgent il y a, ces soldats sont là pour ça, Votre Éminence...!
Expliqua t'il alors, en les désignant de la main.

Sinon, pour vos Hommes, c'est tout bon, Votre Éminence, juste un léger rhume sans gravité, de mon humble avis.
Et dès que vous en aurez terminé avec votre repas, je pourrais vous examiner à votre tour, si vous me le permettez...
Ajouta t'il bien humblement, en s'inclinant de nouveau.

Ben oui, il restait Le Cardinal et ses Proches...!
Et consciencieux, le frère Zack accomplirait sans faillir, la Mission qui lui était dévolue...!

"Ha, mon secrétaire va se mettre à l'ouvrage."

guillaume, le secrétaire se mis à l'oeuvre, sortant vélins, plumes, encres et cire de sa besace et écrivit quelque lignes.


"Je suis à votre disposition, ce ragoût nous a bien réchauffé et je vous remercie de cet accueil.

  Frère Zack

En entendant les mots du Cardinal, c'est avec un sourire jusque dans ses yeux et un brin de fierté aussi, il faut bien l'avouer, que le moine s'inclina de nouveau, tant il était heureux.
Et sans un mot ajouté, il invita Son Éminence à le suivre jusqu'à la tente où l'examen aurait lieu.

Tandis que Mille pensées se bousculaient dans son esprit...

Peut être toute sa vie était tracée pour Ce seul jour...?
D'autant qu'il n'avait pas eu souvent à décider, les choix s'imposaient à lui...
Les Desseins du Très-Haut sont décidément impénétrables, mais ravi de son sort, il leva les yeux vers la toile au dessus de sa tête pour adresser à son Créateur un pieux Merci, muet certes, mais fort de reconnaissance...!

Mais il n'était pas temps pour se perdre dans de telles élucubrations...
Il lui fallait se hâter et ne pas retarder inutilement le Cardinal et son Équipage, puisqu'ils étaient attendus par les Grands de ce monde, à l'occasion de la Cérémonie d'Intronisation.
- Du moins c'est ce que Frère Zack avait cru comprendre...-

Il commença évidemment par se tremper les mains dans le broc d'eau vinaigrée, avant de commencer:

Inspection des yeux, de la gorge, de la peau, parce que ça en dit long la peau, tel un révélateur...! sisi !
Pas de ganglion à l'auscultation, pas de fièvre ni de collante sueur, ça paraissait tout bon..!
Toussez ...!
Demanda t'il ensuite, alors qu'une sorte de corne était placée dans son oreille, pour amplifier les bruits provenant des poumons.
C'est parfait...!

- Si vous avez la vague impression de déjà vu, c'est un peu normal...!
C'est un examen médical ...!-

Il me reste à voir votre Fils et votre Secrétaire, dès qu'il en a fini avec les courriers, et vous pourrez continuer votre route....!

L'examen se passa bien, il n'avait rien et il s'en réjoui d'avantage. il crue voir une lieur d'espoir et d'admiration dans les yeux du moine.


"Je prierai pour votre salut et vous recommanderai au très haut" lui dit il en se signant de la croix pascalienne et lui baisa le front
" Mon fils Roberto est à votre bon soin ainsi que mon secrétaire guillaume de pastenague, je pense qu'ils sont disposés a venir vous voir."

il se couvrit, une pluie fine fit son appariation dehors. Quelques goutes tombais sous un ciel gris d'un temps de fin d'hivers. il sorti de la tente en laissant le bon moine se préparer pour le reste des examens, Appela son fils qui n'était pas loin pour qu'il aille se faire examiné ainsi que son secrétaire. il lui donna la lettre, la parcourue, la signa et la donna à un garde nommément désigné.

A son Altesse Sérénissime,
Philippe-Henri-Charles de Chesnay Taillandier,
Régent de France et de Navarre,  

de Arnoldo Roberto Delarosa,
Cardinal de sa très sainte Eglise pascal.
Evêque de Coutances et des iles de la manches
Baron de Grouville en Jersey la la principauté de Guernesey
Chevalier de l'ordre pascal
Commandeur de la garde Pascalienne
                                             

Votre Altesse,
Camp du poste frontière, le 25 Mars de l'an de grâce 1658

nous trouvant actuellement au camp du poste frontière du Berry, nous vous informons de notre présence sur les terre du Berry ainsi qu'à votre intronisation en la cathédrale de Bourges, une escorte composée de quatre de mes gens d'armes de ma garde personnel, mon fils le baronnet de Grouville et mon secrétaire seront avec nous pendant toute la durée des Festivités, nous logerons, dans le cas ou vous voudriez nous rencontrer à l'hôtel de la Roses de vents à Bourges.  

Que le Très Haut Vous garde.

  Frère Zack

Le temps de se tremper les mains dans le broc et déjà le plus jeune s'annonçait.

Entrez, Entrez...!
Lança le Moine sur un ton cordial, tout en s'essuyant les mains dans un épais linge.
Et l'examen de Roberto commença:

Inspection des yeux, de la gorge, de la peau, parce que ça en dit long la peau, tel un révélateur...!
Pas de ganglion à l'auscultation, pas de fièvre ni de collante sueur, ça paraissait tout bon..!
Toussez ...!
Demanda t'il ensuite, alors qu'une sorte de corne était placée dans son oreille, pour amplifier les bruits provenant des poumons.
C'est parfait...!

Le Fils de son Éminence sortait tout juste, et tel un relais parfaitement coordonné, Monsieur Guillaume, le secrétaire du Cardinal, entra.
Prenez place, je suis à vous dans un instant....!
Le temps de se retremper les mains dans son broc évidemment.
Consciencieux, il l'était le Frère Zack, et il appliquait à la lettre les enseignements reçus...!

Et le dernier examen pouvait commencer:

Inspection des yeux, de la gorge, de la peau, parce que ça en dit long la peau, tel un révélateur...!
Pas de ganglion à l'auscultation, pas de fièvre ni de collante sueur, ça paraissait tout bon..!
Toussez ...!
Demanda t'il ensuite, alors qu'une sorte de corne était placée dans son oreille, pour amplifier les bruits provenant des poumons.
C'est parfait...!

Il libéra donc le secrétaire du Cardinal, et prit le temps de rédiger un sommaire compte rendu de cette journée, qu'il consigna dans le registre.

Le 25 mars, de l'an de Grâce 1658,
Arrivée de 7 personnes au camp.
Son Éminence, le Cardinal Delarosa,  son Fils,  son Secrétaire et ses Gens d'Armes, au nombre de quatre..
Ils ne  présentent aucun des signes annonciateurs d'une maladie contagieuse, et sont tous les sept en bonne santé.

Frère Zack,
Moine médicastre du Prieuré des Ails d'Angilon.

Puis il prit le soin de ranger tout ça, avant de rejoindre le groupe sans doute déjà sur le départ.
D'autant qu'il lui fallait s'en retourner aussi, histoire de ne pas rater le souper au Prieuré...!

J'en ai terminé, Votre Éminence, vous pouvez donc arpenter les routes du Berry à votre convenance...!
Et il s'inclina humblement, à la façon des moines, les deux mains glissées dans ses amples manches.

  Frère Zack

C'est là qu'un autre Cavalier arriva, venant du Berry cette fois.
Un homme portant l'Uniforme, et gradé surement, puisque les soldats présents s'empressèrent de s'activer.

Frère Zack commença par s'incliner pour répondre à ses salutations, mais à la question posée, le moine médicastre ouvrit grand ses yeux, et c'est sur un ton pas vraiment humble qu'il y répondit:

Et vous êtes...?!!
Zacharie soupira...
Décidément, les gradés ne montraient le bout de leur nez que quand la guerre était finie...

Il prit pourtant sur lui et c'est sur un ton neutre qu'il expliqua:
Depuis que j'interviens ici, à la demande de notre Gouverneur, ces voyageurs sont les seuls que j'ai eu l'occasion de rencontrer et d'examiner sur ce camp.
L’Ordre Royal qui préconise une quarantaine de 5 jours n'a pas lieu d'être en ce cas présent ; Ils sont tous en bonne santé, comme je l'ai précisé sur le Registre.
Je connais mon travail, et les dangers d'une Épidémie; si j'avais eu le moindre doute, j'aurais été le premier à intervenir et avertir qui de droit.

Il ne manquerait plus qu'ils soient tous consignés ici, 5 jours durant...

J'en ai terminé, Votre Éminence, vous pouvez donc arpenter les routes du Berry à votre convenance...!

"nous vous remercions, je ferait parvenir, au père supérieur de votre ordre, une lettre de recommandation faisant éloges de vos bon services et ferait brûlé un cierge en la cathédral de bourges"

il répondit au salut du moine, une main sur le cœur et un sourire paternaliste et s'eloignia pour se diriger autour du feu ou son équipage l'attendaient. ses hommes, finalisaient de déguster leurs ragoûts, un des quartes, Marcel Fargo, le capitaine de ses gardes commençait déjà à bouchonné son cheval.

il vit arriver un cavalier au gallo, uniforme impeccable de caporal des armées française, bottes ciré, boutons lustrés sur une monture qui hennissait et crachais d’écume, le poil poisseux. il arrivait des terres du Berry, dans la direction ou le cardinal voulait allé. Au moins, se disait il, les berrichons n’était point touché par l’épidémie au vue de l'arrivé brutal de ce militaire ayant toute ses capacités. Par contre, son cheval ne tenais plus debout.
Quelle eu été la mouche qui l'avait piqué, ce caporal était arrivé bien vite. Les gardes de factions, se relevèrent, voir se réveillèrent de leurs léthargies centenaire. Ce redressant et se remettant chapeaux et attirail au juste corps. Leurs regards interrogateurs ne disait rien qui vaille.

le caporal, salua le cardinal d'une révérence avant de saluer le moine. il lui répondit d'un sourire quel peu crisper. il sentie qu'il se préparait quelque chose. le moine et le caporal discutèrent entre eux. une entrevue qui ne dura que quelque minutes, mais assez intense vue la raideur des deux personnages qui se fessait face. le moine eu un regard interrogateur. Que signifiait cela ?
"Quelque chose vous traquasse votre éminence ?" lui dit son secrétaire Guillaume, qui lui, rangeais ses instruments d’écriture dans sa besace de de cuire bouillie.
"je pressens que notre venue est fait bousculer quelques rouages bien huiler dans cette organisation. ce camp est en quelque sort une nasse aux poissons"
"nous somme libre d'aller maintenant, c'est peu être autre chose."
"Regarder ces gardes de faction, guillaume, on eu dit qu'ils sont tétanisés par ce nouvel arrivant. ils ne broche pas et n'ose même pas faire un pat ni même dire un mots"

il haussa une épaule, peu être se trompait il. Il s’arrêta sur son cheval et voulut inspecter sa monture pour se préparer à le monter. Quand on l’apostropha presque aussitôt:

Votre Eminence, pardonnez moi si je montre un trop plein de zèle mais depuis le début je fonctionne ainsi, si vous êtes pressé il faudra demander une autorisation au régent afin qu'il vous accorde un laissé passé. Dans le cas où cela ne vous gêne en rien d'attendre il y a des quartiers mobile qui peuvent être aménagé à votre convenance pour vous et vos gens.

Au régent, rien que ça, décidément ces français non pas changés, pourquoi faire simple quand il faut faire compliqué. il n'avait pas le temps d'attendre plus de temps.

"Caporal ? l'examen de se bon père ne vous suffit il pas ? d’après ses observations, qui je doit vous le dire, me satisfasse, étant été par mégarde le premier médecin barbier de sa sainteté valentin 1er. Je comprend grandement vos règles et conditions mais comprenez vous, nous voudrions assister a l'intronisation de son altesse le régent et nous avons plus que tardé. Le but de notre visite était celui ci, et juste celui ci. Si il n'est pas possible d'aller plus loin, nous rebrousserons chemin en nous retournant en notre province. je prendrai le risque de traversé une 2eme fois ces champs et terre dévasté avec mon équipage, avec mon fils qui plus est. Regarder nous, voyer vous des loqueteux ou des galeux autours de vous ?"

  Frère Zack

Bien incapable de réagir aux propos du Caporal de Forbach, tant il était atterré, le moine restait là, simple spectateur de la scène qui se jouait...
Il ne pouvait que prier avec ferveur, le Tout Puissant Créateur et Pascal, son bon Prophète...

Et alors que tout espoir semblait perdu...
Oh Miracle...!
Frère Zack évidemment était persuadé que s'en était bien un, pour répondre à sa Prière; Il regarda alors ciel, un sourire jusque dans ses yeux émerveillés,
et cria presque:Mille Merci !
Sans se douter que les récents rapports reçus par le Caporal, en étaient la cause.

Il en avait oublié le Prieuré et l'heure du souper, rien n'était plus important, pour l'Instant Présent, que de savoir Son Éminence enfin libre de finaliser son voyage vers Bourges.

Je comprends parfaitement, la maladie en elle même mets jusqu'à 5 jours pour se déclarer, donc vous pouvez fort bien sans le savoir en être porteur. Après tout dépend d'où vous venez, elle est présente plus principalement au nord ouest et la partie sud de la France reste une zone assez sur.
Laissez moi 5 minutes et je vous trouve une solution qui je l'espère pourra vous satisfaire autant que moi.

regard interrogateur du cardinal, que Pascal en soit témoin. Cette situation était plus que gênante. le caporal le salua et partit vers une tente non loin.
pendant leur traversés, ils n'avaient trouver pas âmes qui vivent sur les chemins, seul quelque badauds, paysans et colporteur sur les routes mais personnes n'avait eu l'air malades. Faut dire qu'ils avait pris par le sud ouest. Des îles anglo-normande qui avait été épargné de fait de leur éloignement et leur séparations avec la mer, ils avaient pris la direction de la Rochelle, traversé l'Aunis et le Poitou en prenant par Niort, Poitiers et Châteauroux.
Ses gens d'armes restaient dubitatif ainsi que son secrétaire. Son fils, lui, ne semblai guerre troublé, occupé à s'occupé de son cheval.
Le caporal revint quelque minute plus tard d'un pat déterminé.

Je peux vous laisser passer, vous n'avez pas dû passer par des zones trop à risque et n'y êtes pas resté longtemps. Si jamais vous sentez que le monde commence à vous prendre revenez sans tarder ici avec vos gens pour vous faire une nouvelle fois examiner.

"voila une nouvelle qui nous ravi grandement, nous retiendront vos conseils."
il fit signe a ses gens de se mettre en selle
"Nous nous reverrons peut être sur bourges, caporal, mes respects et que Pascal vous garde."

il le salua en inclinant légèrement la tète, lui fit le signe de pascal, sauta sur selle et tira sur les reines de son cheval. il s’arrêta devant le moine
"Mon frère, votre cœur est grand et votre âme est saine et chaleureuse, ma maison est la votre. Nous somme Baron de Grouville en jersey, notre terre et ma cour vous est ouverte. Que le grand prophète veille sur vous."
il se couvris la tète de sa capuche, et partie en direction de Bourges suivi par son fils, son secrétaire et les quatre gens d'armes.

  Frère Zack

De cordiales salutations, entre le Caporal et le Cardinal s'en suivirent ; Que dire..? que penser ...?
Tout est bien qui finit bien...?!
Oui, ça résume assez bien ...!

Puis, c'est vers le moine que Son Éminence, déjà en selle, s'avança:

"Mon frère, votre cœur est grand et votre âme est saine et chaleureuse, ma maison est la votre. Nous somme Baron de Grouville en jersey, notre terre et ma cour vous est ouverte. Que le grand prophète veille sur vous."

Frère Zack rayonnait, mais restait muet, tel un poisson hors de l'eau, tentant vainement, d'articuler quelques mots...
Alors, il s'inclina humblement, peut être sa façon à lui de dire merci...?

Bonne Route !
Puisse Pascal veiller sur Vous et vos Gens...!
Lança t'il finalement, alors que déjà les cavaliers s'éloignaient.

Et Zacharie restait planté là, encore ébahit, à repasser dans son esprit cette rencontre pour le moins inattendue...!
Me faudra rapporter tout ça au Gouverneur...!
Pensa t'il alors, avant de faire quelques pas jusqu'à son âne qui l'attendait patiemment, en se régalant des premières herbes tendres.