[RP] Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup n’y est pas !

par **LouiseLamotte** Lun 30 Jan - 15:54

Hier, j’avais proposé à Anthony de faire une ballade en forêt avec Adaline.
Je me demandais pourquoi j’avais proposé une chose pareille, parce que vu le temps, c’était loin de me réjouir.

Mais je m’étais dis que cela ferait plaisir à Adaline et à Bémol d’aller gambader dans les bois.

La veille, cela avait été un peu tendue entre Augustin et Anthony et j’avais dû tout faire pour rassurer mon fiancé. Et pour me rassurer moi. Je devais me faire confiance. Je savais ce que je voulais.

Emmitouflée dans mon manteau, je tourne en rond attendant qu’Anthony et Adaline me rejoignent à l’orée du bois. Il connaissait cet endroit, nous étions déjà venus là tous les deux.

Je regarde Bémol qui court dans le champ face au bois. Lui, il adorait la neige. Il tentait même d’avaler les flocons qui tombaient du ciel. Je soupirais.

Allez savoir d’où venait cet engouement pour la neige. Je ne comprendrais jamais ça !

par Anthony.Deschamps Mar 31 Jan - 20:50

Louise avait contacté Anthony afin de savoir s'il pouvait venir lui rendre visite à Sancerre. Louise étant sa meilleure amie, il n'avait pas refusé.
Alors , dès qu'il avait finit son travail , il fit son sac et celui de sa fille afin de l'emmener avec lui sur Sancerre. Il avait prévenu
sa femme qu'il partait. Anthony avait gardé cette habitude de faire ce qu'il veut, de partir quand il le souhaite, où il le souhaite.

Alors, hier en fin d'après midi il était arrivé à Sancerre et avait croisé Louise en taverne. Biensur, comme il s'en doutait cela ne s'était pas bien
passé avec le fiancé de Louise. D'un sens cet homme semblait avoir du mal à comprendre que plus rien n'allait se passer entre Anthony et Louise
maintenant qu'il est marié et Louise fiancé.
Tant que pour Anthony et Louise tout était bien clair c'était le principal. Ils savaient où ils allaient et ce n'était pas vers une histoire entre eux mais entre une vraie amitié qui était soudé depuis de nombreux mois.
Mais Anthony à un mauvais pressentiment. Pour lui Augustin brisera cette amitié. Et il en sera le seul heureux dans cette histoire.

Le lendemain, Anthony se prépare ainsi que sa fille pour se rendre en forêt . Il avait éviter de mettre une robe neuve à sa fille, se doutant un
peu de dans quel état elle ressortira de la forêt ....

Il prend sa main et ensemble ils rejoignirent Louise.

Bonjour Louise, j'espère que nous ne sommes pas en retard. Il lui sourit puis lui fit la bise puis laissa sa fille lui dire bonjour.

par Adaline.Deschamps Mer 1 Fév - 20:46

Que la fillette était aux anges ! Elle allait se promener en forêt avec sa papa, Louise et Bémol !
Que de rêver de plus afin que cette journée soit encore plus parfaite. La neige ! Et elle était bien la.
Tout en tenant la main de son père, et son ours en peluche de sa main libre, elle donnait des coups de pieds de temps
en temps dans la neige, ou alors elle sautait puis se retourna afin de voir les gros trous qu'elle
venait de faire dans la neige . Et cela la faisait rire. D'un sens il ne faut pas grand chose pour la faire rire cette petite !

Ils arrivérent près de la forêt et une fois que son papa ai dis bonjour à Louise, Adaline se mit sur la pointe des pieds
pour faire un bisou sur la joue de Louise.

Bonjour Louise.

Bonjour Bémol ! Dit elle encore plus joyeusement en s'accroupissant près du chien pour le caresser.
Comme elle était contente d'être là ! Très contente !

par **LouiseLamotte** Sam 4 Fév - 10:10

La famille Deschamps arriva enfin.
Je souris en les accueillants. Anthony me fit la bise. A l’origine, j’avais horreur qu’on me fasse la bise mais petit à petit, je commençais à m’habituer :

- Bonjour ! Non, non, pas de retard. Juste moi qui étais en avance.

Adaline était rayonnante. Et en la voyant, je compris que cette ballade était une bonne idée. Pas pour moi, sans doute, mais pour elle oui. Elle était aussi heureuse que Bémol qui en la voyant était venu vers elle. Mon chien était presque aussi gros et grand que la fillette :

- Bonjour Princesse ! Bien allons-y !

Je commençais à m’engager sur le chemin au milieu des bois. Regardant à droite et à gauche qu’il n’y avait pas de danger :

- Aujourd’hui, Adaline, tu peux ramasser tout ce que tu veux. Aucun risque, les bois, c’est à tout le monde.

Puis regardant son père :

- Encore faudrait-il qu’elle trouve quelque chose avec cette neige !

par Anthony.Deschamps Sam 25 Fév - 16:55

Le petit groupe entama la promenade dans la forêt, et Anthony se mit à rire lorsqu'il entendit Louise dire à Adaline
qu'elle pouvait prendre tout ce qu'elle voulait. Sa fille était connu pour voler dans les champs ... un peu
comme son père lorsqu'il était petit.

Et surtout qu'elle évite de cueillir des champignons vénéneux .... Il la regarde en riant puis il regarde sa fille.

Mais n'oublie pas qu'on a rien pour les ramasser alors n'en prend pas trop ! Il lui sourit puis
il se tourne vers Louise.

J'espère que le but de cette escapade n'est pas de nous abandonner ici ? Il la regarde en riant.

par **LouiseLamotte** Dim 26 Fév - 23:46

- Oui, enfin, avec la neige, je doute qu'elle trouve beaucoup de champignons vénéneux ! Mais bon, on n'est jamais assez méfiants, tu as raison.

Nous progressions lentement, laissant Adaline et Bémol gambader joyeusement devant nous. Je marchais aux côtés d'Anthony et je ne pus m'empêcher d'éclater de rire à sa remarque :

- Pfff ! Si je voulais me débarrasser de toi, je trouverais une solution plus radicale que de t'abandonner dans un bois ! Je sais utiliser des armes, je te rappelle.

Il en avait de ses idées, parfois ! Pour la peine, je lui donnais un léger coup de coude.

- C'est peut-être toi qui va vouloir te débarrasser de moi. Tu n'as pas encore réussi jusqu'à présent ! Je reviens toujours. Ou tu reviens toujours. Tout dépend du point de vue.

par Adaline.Deschamps Dim 12 Mar - 21:55

La fillette regarda la neige à ses pieds. Comment voir ce qu'elle peut ramasser sous cette neige ?
Son père se moquait d'elle ? Quels champignons il veut qu'elle ramasse ? Décidément les enfants
réfléchissent plus que les adultes on dirait !

Adaline resta à côté de Bémol.

Faut faire attention aux champignons ! Faut pas les manger.

Elle caresse le chien qui va vraiment finir par être énorme à côté d'elle qui ne grandissait pas aussi vite.

La fillette écouta la conversation de son père et de Louise. Elle les regarde.

Mais non, Louise va pas nous abandonner ici papa. Louise elle nous aime bien ! Moi j'aime bien Louise, l'est gentille et Bémol aussi.

Adaline devait lever haut ses petites jambes pour réussir à enjamber toute cette neige. Mais elle loupa une levée, du coup la fillette finit dans la neige de toute sa longueur.

Elle grimaçant se relevant tant bien que de mal puis regarda son père, toute blanche de neige.

T'inquiète pas papa vais bien ! J'suis une grande fille ! Elle lui sourit puis continua son avancée mais cette fois ci en diminuant la vitesse.

par Anthony.Deschamps Mer 22 Mar - 17:45

Anthony rigolait lorsqu'il entend sa fille parler au chien. Voilà qu'Adaline commence à parler aux animaux ..
Et elle veut un chien ! Si c'est pour l'entendre parler avec à longueur de journée, il sent que ça va vite l'agacer.
Il aime bien les animaux,mais il aime le silence aussi.

Il regarde Adaline puis Louise en souriant amusé.

Oui je me doute bien que tu ne comptes pas nous abandonner. Et puis je dirai que vu tes fonctions, si tu le voudrai tu pourrai en effet le faire.
Il suffirait juste que tu ne diriges pas les patrouilles dans cette zone ...

Anthony regarde Louise en riant.

Et oui je reviens toujours ou toi aussi. Faut croire que nous somme inséparable, jolie brune .

Il lui sourit puis d'un coup il regarde Adaline .. et il ne la voit plus. Il la regarde allongé dans la neige qui ne met pas longtemps à se relever.
Il secoue la tête se disant que sa fille avait vraiment un côté madadroit ... Elle devait tenir ça de sa mère.

Fais attention Adaline, lève bien les pieds sinon tu vas tomber une nouvelle fois.

Il rit.

Dis moi Louise, comptes tu vivre ta vie toujours sur Sancerre ?

Il la regarde.

Tu vas te marier cette année. Je t'avoue que ça va me faire bizarre de te voir en robe de marier même si je ne doute pas que tu seras ravissante.

Anthony lui sourit. Même s'ils ne sont plus ensemble, cela n'empêche pas qu'il la trouve toujours aussi belle.

Augustin me semble quelqu'un de correct même si je le trouve bien ennuyeux ...
Tu sais bien que je n'aime pas les personnes qui ne disent rien. Elles me donnent toujours cette impression d'être là juste pour espionner et je n'aime
vraiment pas ça .

Mais tu sembles bien avec lui. Et je suis vraiment content que tu es rencontré la personne qui te donne le sourire chaque jour.

Il la regarde toujours en souriant, pensant chacun de ses mots.

par **LouiseLamotte** Sam 25 Mar - 15:02

Je souris face à la réaction d’Adaline. Savoir que la petite m’appréciait autant me réchauffait le coeur. Je ne lui avais pourtant pas fait un très bon accueil lors de notre première rencontre mais tout ceci était déjà loin derrière nous :

- Merci, répondis-je à Adaline, sans doute trop bas pour qu’elle m’entende, trop occupée à gambader plus loin devant nous.

Je fini par rire aux propos d’Anthony :

- C’est vrai. Je pourrais me débarrasser sans doute aisément de vous...

Mais mon rire se transforme rapidement en une petite moue de tristesse que je ne parviens pas à cacher. Il disait que nous étions inséparables. Moi je n’y croyais pas. Nous l’étions séparables et nous en avons déjà fait les frais bien des fois. Je passe la main dans mes cheveux :

- Non. Nous ne sommes pas inséparables. Tu le sais bien...

Je secoue légèrement la tête. Cette simple phrase me donne presque envie de rentrer à la maison. Repenser aux souvenirs de notre séparation, de nos séparations, que ce soit moi ou lui le coupable, me rend nostalgique de notre relation et triste. Si la douleur que j’avais pu ressentir nous rendait inséparable, qu’est-ce que cela doit être quand vraiment on se séparera alors !

Les yeux perdue au loin, je fixe Adaline qui s’amuse avec Bémol, quand je la vois tomber. Je tends les bras par reflexe, comme pour la retenir, mais je suis loin de pouvoir la rattraper. Bientôt elle se relève, rassurant son père qui se moque d’elle. Qui aurait cru que cet homme, qui avait crié tant de fois détester les enfants en serait là aujourd’hui ?

Heureusement, il change bientôt de sujet. Je lui jette un regard :

- J’aime cette ville. J’y ai beaucoup de souvenirs. Beaucoup de première fois. Beaucoup d’histoires. Je n’ai pas envie de la quitter pour l’instant non. Pourquoi cette question ? Tu voudrais que je déménage à Bourges ?

Je souris. Il ne manquerait plus que ça, qu’il me dicte mes choix de vie. Puis là, il me parle d’Augustin et de notre mariage :

- Moi aussi, ça va me faire drôle. Je crois que je vais avoir envie de m’enfuir jusqu’au dernier moment. Le mariage me terrorise. J’ai beau réfléchir, me préparer à cette évidence, il y a une petite partie de moi qui panique. Je pense même qu’elle paniquera encore lorsque cela sera fait. Quant à savoir si je serais ravissante... Je ferais au mieux. Mais il y aura beaucoup d’autres belles femmes, ce jour-là, qui pourront me faire de l’ombre. Rien que ma soeur.

Nos pas nous conduisent jusqu’à une clairière, qui est aussi recouverte de neige. Je fini par m’asseoir un instant sur une souche d’arbre assez haute, qui fait qu’avec ma petite taille, mes pieds ne touchent pas le sol :

- Augustin est un homme exceptionnel Anthony. Il m’apporte beaucoup et il a énormément de qualités. Je n’ai jamais vécu ça. Il m’aime d’une manière incommensurable et il m’aimait même avant que j’apprenne son existence. Avec lui, j’ai l’impression d’être une perle dans un écrin, quelque chose qu’il doit protéger et choyer le plus possible. On ne m’a jamais aimé comme ça, si fort. Du moins, je ne l’ai jamais ressenti aussi fort. Avec lui tout est beau et simple. Pas de problème que des solutions. Je l’ai rarement vu s’énerver. Il est romantique, attentionné, tendre... Il est l’homme idéal et sincèrement, cela me fait du bien d’être avec un homme comme lui. Même si je n’avais pas imaginé que ce genre de personne me plairait. Des fois, je regrette de ne pas l’avoir rencontré à mon arrivée ici. Sans doute étais-je trop occupé à regarder ailleurs pour l’apercevoir et lui trop timide pour m’aborder.

Je le regarde :

- Il est timide, très timide. Pour cela qu’il ne parle pas énormément. Plus il y a de monde, plus il s’enferme dans le mutisme. C’est comme ça. Je parle souvent pour deux moi alors ça va. Il n’y a pas de mal là-dessous. Mais je te signale que ton épouse n’est pas non plus une grande bavarde et pourtant, tu es bien avec elle.

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